Pour moi, c'est Thomas De Gendt, présent du début à la fin, se battant pour franchir la ligne d'arrivée en premier et non s'arrêter au milieu de l'étape ou au passage d'un col.
Quand Sagan s'échappait pour un sprint intermédiaire, quand Majka trainait sa varicelle en queue de peloton, Thomas De Gendt se battait pour la gagne. Ça change tout ! C'est une autre course. Il a livré un combat qui mérite d'être salué. Et récompensé.
Moins médiatique que Sagan, il méritait le titre de Super-Combatif au moins tout autant.