Étape 16:

Contre La montre en côte au Plan de Corronnes.

Le fameux plan de Corronnes va donc être le théatre d'un contre la montre qui va permettre au grimpeurs d'exprimer leur talent pur sans avoir recours a une quelconque stratégie, il est donc toujours très glorieux d'inscrire son nom au palmarès d'une telle étape.

Les premiers a s'élancer n'ont quasiment aucune chance de remporter cette étape contrairement a un CLM plat, leur temps est donc sans importance. On notera juste pour l'anecdote que le premier "grand nom" a réaliser le meilleur temps est le sprinter Théo Bos. Petit à petit, de bon grimpeurs cantonnés a un simple rôle d'équipier vont réaliser de bon temps, chez moi, il s'agit de Carlos José Ochoa, le grimpeur Vénézuélien se paye même le luxe de rattraper l'ex meilleur grimpeur et maillot jaune du Tour, le danois Mickaël Rasmussen. Puis vient le Tour de favoris, au premier intermédiaire, c'est l'Italien de la Radioshack qui réalise une première marque importante, le grand espoir Italien semble enfin se réveiller sur ce Giro qu'il traverse sans bruit depuis le départ d'Amsterdam. Cette marque ne sera battue que par José Serpa, le lieutenant Colombien du maillot rose réalise en effet un temps canon et devancera même son Leader au premier chrono. Mais ce temps n'est qu'un trompe l'œil, en effet il s'avérera que Serpa est parti bien tros vite, il s'effondre dans la seconde partie. Et frôlera même l'humiliation de se faire rattraper par Basso pourtant parti une minute après lui. Un humiliation que ne pourra pas éviter Damiano Cunego, le Leader de la Lampre sera doublé par Michele Scarponi dans les derniers hectomètres. Humiliation certe atténuée par une cinquième place, qui montre que le maillot rose a une nouvelle fois effectué une démonstration, celui ci devance en effet la quasi totalité des ses adversaires de plus d'une minute. Seul le colombine Juan Mauricio Soler prendra moins d'une minute, puisqu'il finit a 44 secondes. Cette deuxième place lui permettra de devancer son compatriote Serpa dans la course a la quatrième place.

Étape 17:

Étape de montagne, l'arrivée se trouve après une cote très roulante.

J'essaye de profiter de cette étape pour faire remonter Serpa au général, je décide donc de le faire attaquer dans le premier des deux cols, malheureusement, les équipier des leader passent facilement ce col et roulent dans la vallée, Serpa est donc vite revu. Je tente donc le coup avec Scarponi, seul Cunego et Soler suivent. Le col etant très roulant, je n'arrive pas a décrocher mes adversaires au train. C'est donc a trois coureur que la victoire d'étape va être jouée, Scarponi prends la roue de Cunego, mais celle-ci s'avère être la mauvaise, puisque c'est Soler qui s'impose, montrant une nouvelle fois qu'il est en forme en cette fin de Giro.

Étape 18

Étape de transition totalement plate.

En début d'étape, je prends quelque point au sprint bonification avec Scarponi, points qui me seront utile dans ma conquête des trois maillot de Leaders. Dans le sprint final, c'est le jeune Sacha Modolo qui s'impose devant Gasparoto et Greipel.

Très bien décrit

Juste c'est qui l'italien de la RadioSchack car tu le cites mais tu ne donnes pas son nom

Ha ouais mince
C'est Nibali, par contre j'avais dit qu'il était a la Radioshack dans un précédent post, si tu suivais ça irais mieux

Gringo a écrit:

Ha ouais mince
C'est Nibali, par contre j'avais dit qu'il était a la Radioshack dans un précédent post, si tu suivais ça irais mieux

çui là alors

Étape 19:

Avant dernière étape de montagne, quatre cols pour créer de nouveaux écarts où pour racheter un giro raté.

Le départ de l'étape est tranquille, pas d'échappée, comme si tout le monde voulait se réserver en vu de cet enchainement de cols qui semblent destructeurs. A pied du premier col, Carlos José Ochoa, le coéquipier du maillot rose, attaque, personne ne le suit dans ce qui semble une coup de folie. Derrière lui, c'est la liquigas d'Ivan Basso qui roule, mais le rythme est assez faible le vénézuélien prends une marge importante, jusqu'à l'avant dernier col, où l'écart diminue petit a petit. Voyant les espoir de son coéquipier s'envoler, Michele Scarponi et José Serpa attaquent, le but du maillot rose est de replacer son équipier au général. Mais le colombien ne peu suivre le rythme de son leader décidément survolté dans ce giro. Scarponi aborde la descente en première position, et personne ne le reverra. En effet, malgré l'attaque de Cunego, l'Italien de L'andronni Giocattoli file vers sa cinquième victoire sur ce giro. A l'inverse son co-équipier est revu puis dépassé par ses principaux adversaires au général.


Étape 20

Cette dernière excursion du Tour d'Italie dans la montagne va être le théâtre d'un final sous haute tension.

En effet, alors que son coéquipier Rémi Pauriol était parti en éclaireur en quête d'un rachat sur un giro qu'il aura traversé sans bruit, Michele Scarponi se fera une très grose frayeur. Après le sommet de l'avant dernier col du giro, col franchit en tête par Rémi Pauriol, Luis Leon Sanchez tente de filer dans la descente, le maillot rose en quête d'une sixième victoire d'étape saute dans sa roue. Après quelques épingles franchit a toute allure, le maillot rose va chuter et entrainer avec lui la peur de toute son équipe. Après quelques secondes, Scarponi va tout de même se relever et tenter de faire son retard. Même si le second pointe a plus de six minutes, le dernier col peut encore renverser le giro si le Leader Italien ne parvient pas a relancer la machine. Mais le maillot rose ne tombe pas sur le dos des plus faibles, encore moins a la veille de l'arrivée finale, Scarponi va donc faire le début de la montée a bloc afin de rattraper le groupe de tête. Petit à petit, a coups de secondes, l'Italien va remonter ces adversaires pour accrocher la roue de son dauphin. Malheureusement pour lui, l'effort produit pour revenir va lui couter sur le final, et c'est Ivan Basso qui règlera au sprint Nibali et Soler. Ces quelques places laissées sur le final coûtent a cet instant la tête du classement par point a Scarponi puisque Cunego le repasse pour quelques points.

Étape 21:

Le contre la montre final est remporté par Luis Leon Sanchez. Mais le véritable vainqueur du jour est bien Scarponi, puisque ce dernier va terminer a la neuvième place et grapiller les quelques points qui lui manquaient pour s'imposer au classement par points. L'Italien rejoint donc Eddy Merckx dans la légende du Giro puisqu'il devient le second coureur a remporter les trois classements principaux.

Oua super le récit dirai un commentateur qui raconte une vrai course, tu doit prendre beaucoup de notes non? Le Giro est la course la plus facile à gagner car il y a beaucoup de montagne(généralement on à des bon gars en montagne ) de plus il y a pas beaucoup de leadeur fort comparer au tour de France

Critérium du Dauphiné:

J'emmène une petite équipe sur ce Critérium, mes Leaders étant encore en stage. Andy Schleck s'impose au général devant Kreuziger et Le Mével.

Tour de Suisse:

Course de reprise pour mes deux Leaders en vue du Tour (Porte et Fuglsang), ainsi que pour Boasson Hagen.
Fuglsang est plutôt décevant, il ne trouvera jamais le rythme, et finis a plus de huit minutes de Contador.
Hagen se montre plutôt a l'aise en moyenne montagne puisqu'il finit deuxième d'une étape de ce type, il limitera aussi la casse dans la haute montagne pour finir quatrième au général.
Quand à Porte, les résultats sont très encourageants, il est le seul a suivre Contador dans l'unique arrivée au sommet de ce tour, il va malheureusement prendre quelques cassures dans des étapes vallonnées qui lui couteront la victoire au général.

Au niveau des championnats Nationaux, Fuglsang se rassure en vue du Tour puisqu'il s'offre le maillot de champion du Danemark, il est immité par Serpa et Kessiakoff.

Tour de France 2011

Sur cette course, j'ai Jakob Fuglsang et Richie Porte comme Leaders pour le classement général. Boasson Hagen est là pour jouer le maillot vert, et quelques victoires d'étapes, j'essayerais de gagner ce maillot a la manière d'Hushovd en 2009, a savoir limiter la casse sur les sprints massifs, et chercher des points supplémentaires dans la montagne et les vallons. J'emmène aussi Francesco Ginanni qui va jouer quelques victoires d'étapes en baroudeur et grâce a ses talents de puncheur/sprinter, Frederic Kessiakoff est là pour épauler mes Leaders, Roche était aussi prévu dans ce rôle, mais il s'est blessé lors du Tour de Suisse. Heado vien sur ce Tour pour emmenner les sprints de Hagen si il est encore en course pour le maillot vert ou pour jouer sa carte perso selon la physionomie de la course. Complètent l'effectif en tant qu'équipiers: Alberto Loddo, Fabio Taborre et Luis Angel Mate.


Prologue:

Le prologue dans les rues de Rotterdam, va être le théatre d'une belle bataille a coups de secondes entre les spécialistes et les favoris a la victoire finale. Le premier temps de référence est réalisé par un des Leaders de l'équipe Andronni Giocatolli, Richie Porte mais celui est parti trop vite et son temps risque fortement d'être battu. C'est ensuite Thor Hushovd qui prends les commandes du classement provisoire. Il gardera cette place pendant quelques temps battu d'abord par Tony Martin puis par Cancellara. Une fois le Suisse arrivé, on se doute que le chrono sera dur a battre, et c'est le cas, seul Edvald Boasson Hagen inquiètera le champion du Monde du Chrono, mais le Norvégien échouera a une seconde. Chez les favoris, le premier est Alberto Contador qui finis quatrième.

Classement de l'étape:

1) Cancellara 12'24"
2) Boasson Hagen 1"
3) Martin 2"
4) Contador 3"
5) Wiggins 5"
6) Boom 5"
7) Hushovd 11"
8) Karpets 15"
9) Fuglsang 15"
10) Ignatiev 18"

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14) Basso 20"
15) Porte 22"
18) Armstrong 24"
19) Kreuziger 24"
20) Valverde 25"
27) Menchov 27"
31) Gesink 28"
84) F.Schleck 48"
89) A.Schleck 49"

Hâte de suivre la suite du Tour
Bon début! Tu peux espérer porter le maillot jaune et le maillot vert dans les prochaines étapes!

Bonne chance , j'ai lu ton épopé sur le Giro tu t'est balladé et ta bien transpirér a l'avant derniere étape quand scarpo a chuté ahah !

Étape 1:

La première étape en ligne de ce Tour de France va mener les coureurs a Bruxelles, cette étape semble dévolue aux sprinters, même si l'arrivée en léger faux-plat pourrait modifier légèrement la donne.
Les premiers kilomètres de cette étape sont animés par les attaques de la part de nombreux coureurs, la perspective de prendre part a la première échappée du Tour semble en motiver plus d'un. Alors que cette étape semble suivre un schéma classique, les chose sont un peu changées par la présence du deuxième au classement général, le Norvégien Edvald Boasson Hagen, cette présence s'explique par la présence du premier sprint intermédiaire que le coureur d'Adronni souhaite remporter afin de progresser au classement par points. Une fois ce sprint remporté, Hagen se relève, mais le mal est fait les échappés sont repris. Plus personne ne partira jusqu'au second intermédiaire remporté une nouvelle fois par Boasson Hagen bien emmené par Richie Porte, équipier d'un jour. Après cet intermédiaire, le Norvégien est rejoint par Matti Breschel, les deux vont collaborer jusqu'au troisième intermédiaire, qui sourira pour la troisième fois a Hagen, après ce sprint, le peloton reviendra sur les fuyards qui ne veulent pas faire d'effort inutiles a plus de 80 kilomètres de l'arrivée. Le peloton atteindra sans événement particulier la capitale Belge. Le sprint final est emmené par l'équipe de celui qui sera maillot vert ce soir, le norvégien Boasson Hagen, le dernier étage de la fusée est Richie Porte qui lancera son coéquipier en tête a l'approche de la ligne finale. Mais c'est un autre Norvégien qui règlera la mélée, Thor Hushovd ayant fait tout le sprint dans la roue de Hagen sautera son compatriote dans les derniers mètres, il devance Tyler Farrar et donc Edvald Boasson Hagen.

Étape 2:

La seconde étape du Tour se déroule dans sa totalité en Belgique et s'achève a quelques kilomètres du célèbre circuit de formule 1, c'est une étape très vallonée, qui pourrait créer de nouveaux écarts entre les favoris, et ce a la veille de l'étape pavée qui semble vouée a bouleverser le général.
Dès les premiers kilomètres, l'échappée du jour va se former, parmi les fuyards, Bjorn Leukemans, Mikhail Ignatiev et le champion du monde Francesco Ginanni. L'échappée se déroulera sans encombres jusqu'au premier grand prix de la montagne où Leukemans attaquer, il sera immédiatement suivi par Ginanni. Les deux coureurs vont rapidement avoir un écart de plus de deux minutes sur leurs poursuivants, mais a une quarantaine de kilomètres de l'arrivée l'écart retombe autour de la minute, c'est la que Ginanni décide de placer une nouvelle attaque, Bjorn Leukemans tente de suivre, mais il en est incapable. Au pied de la dernière bosse, le champion du Monde possède encore deux minutes d'avance sur le peloton, mais c'est sans compter l'attaque d'Alberto Contador qui va dynamiter le peloton. Il est immédiatement contré par le maillot vert et coéquipier de Ginanni, Edvald Boasson Hagen décidément très actif en ce début de Tour. A un kilomètre du sommet, Ginanni compte trente secondes d'avance sur un groupe comprenant tout les favoris qui se regardent. C'est alors que Sandy Casar attaque, une nouvelle fois c'est Hagen qui contre voulant a tout prix protéger son coéquipier. Les deux coureurs feront la descente a tombeaux ouverts, mais le Français n'étant pas relayé par le Norvégien, il ne peu revenir sur Ginanni qui offre sa première victoire sur la Tour a l'équipe Andronni Giocattoli. Cassar devancera de quelques mètre Hagen pour la deuxième place, et c'est Pineau, parti dans la descente, qui règlera le peloton.

Aucun écart n'a été enregistré entre le vainqueur et le peloton, Fabian Cancellara conserve donc le maillot jaune.

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Je suis content d'avoir remporté l'étape avec Ginanni, surtout en étant parti dès les premiers kilomètres, mais je regrette que les écarts n'aient pas étés enregistré, car il y avait largement plus d'une seconde entre Boasson Hagen et Cancellara. Mais avec un troisième podium en trois jours, je progresse bien au classement par points.

Bien ça

Étape 3:

Nous voilà arrivés a la tant redoutée étape des pavés, qui finis a quelques mètres de la tranchée d'Arenberg. Cette étape devrait créer quelques écarts entre les différents prétendants a la victoire finale.
Le début de l'étape est animé par les quelques attaques, certains coureurs voulant passer les pavés seuls d'autres voulant tenter d'avoir quelques précieuses secondes d'avance a l'approche des pavés pour espérer s'imposer. Dans cette dernière catégorie, figurent Alessandro Ballan et Grégory Raast. Derrière, les places dans la première partie du peloton sont chères et les leaders comptent sur leur équipiers pour se maintenir aux avant postes. Le premier secteur pavé va déjà créer une cassure, mais les kilomètres de plat qui séparent ce premier secteur du second vont permettre au peloton de se reformer. Les deux secteurs pavés suivant vont bien plus étirer le peloton, le seul favori du général présent dans le premier groupe est le danois Fuglsang, protégé par le maillot vert Boasson Hagen. Les derniers secteurs vont créer la sensation, une chute a lieu dans le premier groupe, parmi les coureurs à terre, se trouve Mark Cavendish, le britannique ne se relèvera pas et quitera pour la première fois la Tour sans victoire d'étape. Malgré ces chutes, les attaques vont fuser a l'avant de ce groupe, a la sortie des pavés, Thor Hushovd et son coéquipier Heinrich Haussler possèdent une trentaine de seconde d'avance sur leurs poursuivants. Débarrassé de son travail d'équipier, Boasson Hagen va contrer et doubler le duo de tête, il semble filer vers la victoire mais le sacrifice de Haussler va ramener Hushovd vers la victoire, Hagen ne peu cacher sa déception de voir la victoire lui échapper pour la quatrième fois consécutive. A cette déception, s'ajoute le désespoir de ne pas conquérir le maillot jaune, puisque le peloton s'est regroupé derrière et est revenu a quelques encablures des échappés.

Parmi les favoris, les frères Schlecks predent beaucoup de temps, avec plus de six minutes dans la vue, il seront pourtant les seuls favoris avec Samuel Sanchez a perdre du temps sur cette étape.

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Encore une fois pas d'écarts comptabilisés malgré de grosse cassures, même si de nombreux favoris (dont Contador), ont fini dans le premier groupe. J'en profite pour demander comment vous faites pour avoir beaucoup d'écarts sur cette étape? J'aurais bien aimé prendre un peu d'avance lors de cette étape.

Je sais pas pour les écarts sur cette étape
C'est peut être une question de niveau de difficulté. En très difficile il y a plus d'écarts qu'en normal je suppose. Mais moi, cette étape je n'ai jamais su la gérer. A chaque fois j'y ai perdu une bonne dizaine de minutes si ce n'est plus et c'est la raison qui fait que dans PCM 2010 je n'ai jamais gagné le Tour...

Bon, je met la story en pause, je la reprendrait peut-être au début de la saison prochaine, car la le Tour de France est un bordel complet

Tout d'abord, les premières étapes de montagne n'ont fait aucun écart entre les quinze premiers, même lorsque j'ai attaqué au pied avec porte, les favoris sont arrivés groupés, que ce soit une arrivée en altitude ou après une descente, ce qui fait qu'a la veille de l'étape Bagnères de Luchon-Pau, les écarts étaient encore ceux du prologue (hormis pour mes deux leader qui ont perdu une minute a mende). Mais le pire reste a venir, puisque dans cette étape, j'ai fait attaquer Fuglsang dès le premier col pour qu'il prenne des points au classement de la montagne et serve de relais a Porte. Mais les écarts on étés considérables, il finit avec douze minutes d'avance sur Moinard, quinze sur Contador dix-sept sur Porte qui a essayé de suivre Conta, et dix-neuf sur les autres favoris. Le Tour est donc plié, puisqu'en plus, la mise a jour a buggé et que l'étape du Tourmalet est plate. Même si c'est moi qui gagne le Tour, ça me fait chier de voir que tout a foiré en une journée

Screens du classement de l'étape et du général:

Arf dommage

Effectivement c'est bizarre et pas marrant d'avoir des résultats surréalistes...

O: les écarts!!

lol contador a 12 min !

Lidorien a écrit:

lol contador a 12 min !

Moi ça me le fait lors de l'étape des pavés mais c'est jamais moi qui a 12min d'avance sur Contador...et à la fin il est toujours sur le podium ou pas loin si il ne gagne pas

Et encore, il a repris du temps, a un moment il était a plus de vingt minutes, heureusement que Fuglsang a fait une fringale, sinon il aurait été ridicule

Sinon il a quand même repris quatre minutes sur le chrono